BOUCHON s'est lancée dans la peinture comme on se jette à l'eau. Certes depuis l'enfance, elle crayonnait. Mais, alors que les Beaux-Arts la tentait, elle fit son droit à Paris pour complaire à son père. Sa licence en poche, elle reprit aussitôt ses pinceaux. Elle s'amuse alors à faire le portrait de ses enfants, Frédérique et Antoine, de sa famille, de ses amis. Et puis, comme elle ne manque pas d'audace, elle passe une annonce dans un magazine et les premières commandes arrivent: portrait d'un enfant, quelle angoisse, se souvient-elle, devant ce petit rouquin tout pâle ! ("Portraits"), un mariage à Cannes - face à la maison, la piscine, la mer ; je pensais que je n'y arriverais jamais, mais après une coupe de champagne, ça allait mieux… ("Spécial Mariage"). Son amour de Paris, où elle habite depuis toujours, l'inspire naturellement. La ville des lumières, dont elle restitue avec vérité le charme et l'ambiance, devient vite un des thèmes principaux de sa peinture. Sa carrière commence vraiment ce jour là. Elle obtient en 1978 le Super Prix des Lectrices du journal Elle ("Prix décerné"). Plusieurs expositions lui sont consacrées en France et à l'étranger ("Expositions"). Elle est exposée de façon permanente dans différents musées ("Musées"). Sociétaire du Salon des Indépendants à Paris et Sociétaire du Salon d'Automne, elle a été citée dans de nombreux ouvrages se rapportant à la peinture naïve contemporaine, en France, aux Pays-Bas et au Japon ("Bibliographie"). BOUCHON est aujourd'hui "en ligne" et propose, sa revue de presse ("Revue de presse"), ses dernières toiles "Dernières oeuvres", "Vues de Paris" "et d'ailleurs".