A l’âge de dix ans, son père reçoit Guy Lequerrec de l’Agence Magnum à Paris, pour son premier reportage photo en Mauritanie et publie en 1971 dans la revue « Jeune Afrique », une photo et un article intitulé « la famille la plus prestigieuse de Mauritanie ». L’impact de cette photo où le « petit Maël » s’est vu pour la première fois avec sa famille sur un journal étranger, l’a poussé à demander à son père de lui acheter un appareil photo.
Il rencontre, ensuite, l'artiste-peintre orientaliste Myrto Debard, en visite en Mauritanie. Elle l’adopte, il pose pour elle et l’invite chez lui où elle peint sa famille, toujours sous l’œil du petit Maël qui lui demandera, alors, de l’initier à la peinture…déclic ! ​Il prend l’avion pour Rome, étudie l’histoire de l’art et l’italien, débarque ensuite à Paris où il est accueilli à l’école des Beaux-arts par celui qu’il appelle son maître ; Yankel Kikoine dont le père était l’ami du peintre Soutine.
Si on demande à Mael de parler de son travail , il se dira, inspiré…
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